Stockage de l’information dans l’ADN
La quantité d’information produite par les êtres humains que l’on veut stocker augmente de façon exponentielle. Le besoin s’accroît aussi pour l’archivage des informations numériques, mais à présent aucune solution à long terme n’est aujourd’hui mise en place. Ceci parce que tous les médias de stockage numérique actuels nécessitent un cycle constant de rafraîchissement, à la fois pour le moyen de stockage et pour le matériel
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dédié à l’écriture et à la lecture.
L’avancée récente des technologies inspirées par les sciences du génome nous a conduits à étudier la possibilité d’utiliser l’ADN comme moyen d’archives numériques. L’ADN a, en 3 milliards d’années, prouvé qu’il est un support stable d’information, avec des molécules individuelles de 10 000 ans régulièrement retrouvées sur des échantillons historiques. Des conditions sûres de stockage d’ADN sont facilement maintenables à bas prix et la capacité de lire des fragments survivra certainement aussi longtemps qu’il y aura des chercheurs étudiant le génome des organismes vivants.
Dans notre expérience de validation, nous avons montré comment des technologies d’ADN existantes pourraient être utilisées pour stocker et récupérer approximativement 750Kb d’informations numériques d’une manière qui pourrait être extrapolée à des échelles globales de données. Nous avons incorporé des méthodes modernes telles que les codes correcteurs d’erreur pour l’intégrité des données. Cette conférence décrira cette expérience et spéculera sur l’avenir de l’ADN comme stockage numérique.
Christophe Dessimoz a étudié la biologie à l’ETH de Zurich, en Suisse. Après un semestre à la Northwestern University (États-Unis), à l’Université Tsinghua (Chine) et à l’Université Chulalongkorn (Thaïlande), il a terminé et obtenu son doctorat en 2009 à l’ETH sur la génomique comparative. Il est devenu Associé de recherche senior et maître de conférences en 2011. Depuis cette date, il fait partie de l’Institut EMBL-Européen de Bio-informatique d’Hinxton, en tant que chercheur invité dans le groupe de Nick Goldman. En 2012, il a reçu le prix du jeune bio-informaticien de l’Institut suisse de bio-informatique.
Répliques art-science : vendredi 14 juin